Nous n'aimons pas QUE charrier des monticules de remblai, les pieds dans la boue,
ou encore affronter les ronces et les épines à l'aide de nos outils tranchants...
nous aimons également profiter des chemins que nous aménageons et partager le plaisir
de randonner avec celles et ceux qui ne participent pas à nos chantiers du lundi.
Le dimanche 16 novembre, nous avons donc organisé notre deuxième édition
du tour de Plestin-les-Grèves "Tro Plistin".

... soit la bagatelle
de 29 Km.
Départ quai de Toul An Hery.
Le soleil avait eu la bonne idée de réserver sa journée pour nous,
ce qui nous mit de fort bonne humeur.
Pas moins d'une quarantaine de participants au départ !
Regardez- bien !
Certains marchent
si vite que les
photographes
n'arriveront pas
à les rattraper
avant l'arrivée !
Soleil du matin sur le manoir de la Roche d'argent.
Passage au fameux col de Saint-Haran (altitude. 24m) sans difficulté apparente.
Ces marcheurs
me semblent
mener bon train !
Quelques kilomètres plus loin ...
La chapelle St-Jagut récemment rénovée.

Traversée du bois
de coat Ar Bescond
avec le franchissement du Dour Meur.
Bientôt 13 km de parcourus : la faim fait sortir les loups du bois.

Par bonheur, une véritable salle de restaurant nous attend pour le pique-nique,
chez l'un des membres de notre association.
Il faut bien échauffer les muscles
avant de se remettre en marche.
Bien requinqués, nous repartons
pour quelques 15 kilomètres.
.
La trouée de Collogot.
C'est vraiment épuisant ces raidillons !
Arrivés à la chapelle Ste-Catherine ( château du Leslac'h),
les 20km déjà parcourus ne semblent pas peser trop lourd...
sauf pour Filo qui rebrousse chemin.
La forêt du Grand Rocher
abrite des monstres
aux pieds crochus !
Arrivée sur la plage de Saint-Efflam.
Fontaine Saint-Efflam, 24ème kilomètre,
l'heure d'un choix difficile :
corniche ou pas corniche ?
Si nos chemins sont différents...
ils mèneront tous à Toul An Hery.
Arrivée à Beg Douar avec pause chocolat.
Puis nous affrontons le fatigant
et périlleux chemin des douaniers.
Le Hogolo, ça sent... le terme de notre périple.
Une partie des 33 survivants. Certains ont l'air un peu atteints.
Le soir, marcheurs et non-marcheurs se retrouvent au restaurant pour déguster un Kig Ar Farz pour reconstituer les forces avant de retrouver le chantier du lundi matin.
Il n'y a plus qu'à ... remettre ça l'an prochain !
N.B. : pour plus de photos, consulter l'album (partie droite de l'écran).